Quand il nous parlait de la pauvreté, frère Pierre-Marie, le fondateur de nos fraternités, aimait raconter ce dont un pauvre bédouin lui avait fait prendre conscience dans le désert. « Toi, tu as le crayon », lui avait-il dit. Oui, Pierre-Marie savait écrire et il avait des choses à dire ; c’était là une richesse qu’il ne pouvait nier. Il a donc écrit, et beaucoup écrit.

Avec Françoise Balitrand, laïque de Paris, à qui nos instituts ont confié la garde des œuvres de Pierre-Marie.

Partager comment le charisme de Jérusalem peut fructifier dans le cœur des laïcs.

Reçois l’appel à l’amour fraternel comme l’ouverture à un grand mystère. (Livre de vie nº 6)

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