Éloge de la patience – Lc 2, 36-40
Anne, Sainte Anne du Temple, Sainte Anne la liturge fidèle au jeûne et à la prière, apprends-nous à attendre, et apprends-nous à parler de l’Enfant à tous ceux vers qui le Seigneur nous envoie.
Anne, Sainte Anne du Temple, Sainte Anne la liturge fidèle au jeûne et à la prière, apprends-nous à attendre, et apprends-nous à parler de l’Enfant à tous ceux vers qui le Seigneur nous envoie.
Il nous reste simplement à écouter. « Que le Seigneur creuse donc en ton être une attente et un appel orientant ta vie à recevoir et à garder la Parole du Père qui est son Fils, dans la Paix de l’Esprit. Goûte cette Parole divine qui se dit tout entière dans le silence (…)
Ce soir le regard de l’Enfant, son amour et sa Paix peuvent nous réconcilier avec notre vie, avec Dieu, et avec tous. Il suffit de prendre l’Enfant dans nos bras.
La première « communion » nous la verrons à Bethléem : ce sera Jésus et Marie ; Jésus, Marie, et Joseph ; Jésus, Marie, Joseph et les pauvres d’Israël. Jésus, Marie, Joseph, les pauvres d’Israël et les païens en quête de vérité et nous qui nous laisserons attirer par cette nouvelle ommunion qui déjà nous remplit de joie !
Que l’exemple et la prière de saint Joseph et de son bon ami saint frère André nous donne de prendre courage et d’être nous aussi collaborateurs et collaboratrices de la mission.
Beaucoup, sinon tous, ont voulu saisir le Royaume qui se manifestait en voulant devenir eux-mêmes rois à l’instar de Satan. Jean, lui, s’efface devant le Royaume en véritable adorateur de Dieu.
Chacune, chacun de nous peut jouer ce même rôle, là où elle est, où il est. Offrir sa vie en action de grâce et en intercession pour le renouveau de l’humanité et du monde.
Frères et sœurs, la moisson est abondante la Promesse de vie et de joie de Dieu est abondante. Voulons-nous être des ouvriers de la moisson, des ouvriers de la consolation ? Le premier pas est de donner aujourd’hui un oui décidé et ferme aux promesses de Dieu !
« Pour arriver à l’amour de Dieu, pratiquez l’amour des hommes. En tout humain, voyez un enfant de Dieu, un frère de Jésus pour lequel il est mort, une âme à sauver… Rien ne conduit mieux à l’amour de Dieu que la charité envers ses enfants en vue de Lui. »
N’y a-t-il pas eu dans notre vie des Saint André qui nous ont amené à Jésus ? Et nous… Que ce temps d’Avent nous imbibe tellement de Jésus que notre vie témoigne de Lui !